Les paradoxes de Gabriel Fauré, par Jacques Bonnaure

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

L’histoire a considéré Fauré, aux côtés de Debussy et Ravel, comme l’aîné d’une « Sainte Trinité » de la musique française. Mais il est pourtant méconnu. Populaire et élitiste, officiel et secret, original mais classique, influencé par la musique germanique, de Schumann à Wagner, et cependant tellement « français », musicien du clair-obscur pour les uns, artiste de feu et de sang pour d’autres… Voilà le portrait d’un artiste paradoxal.

*     *     *

Jacques Bonnaure

Professeur agrégé (H) de Lettres modernes, Jacques Bonnaure est journaliste spécialisé en musique classique. Il collabore notamment à Opéra international, La Lettre du Musicien, Classica et Opéra Magazine. Il est conférencier et chargé de cours à l’Université Inter-Âges de Versailles. Chargé de conférences au centre culturel français du Caire, dans les années quatre-vingt, il a été producteur de 36 émissions sur la musique française à la radio nationale égyptienne. Il est l’auteur des biographies de Saint-Saëns (2010), Massenet (2011) et Fauré (2017) aux éditions Actes Sud, dans la collection Classica.