Hugo Wolf, un compositeur italien ?, par Stéphane Goldet

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Le dernier recueil de 46 Lieder du dernier « grand » du Lied romantique allemand est exclusivement basé sur de la poésie italienne. C’est assez dire son importance que de constater que c’est Italienisches Liederbuch qui est aujourd’hui, de ce compositeur viennois, ce qu’on entend le

Wagner et l’acoustique de Bayreuth, par Jean-Jacques Velly

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Depuis plus de cent ans, le théâtre de Bayreuth – où ont été créés, du vivant de Wagner, la Tétralogie dans sa version intégrale et Parsifal – ne cesse d’intriguer et de soulever des questions. Voulu par Wagner, construit selon ses indications, modifié après l’expérience du premier festival en 1876, ce

Cinquantenaire du Cercle National Richard Wagner – Paris

Publié le - 10h30Cercle de l'Union Interalliée

33 rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris
Point d’orgue de nos célébrations, cet événement nous donnera l’occasion de recevoir nos amis wagnériens du monde entier, autour d’une matinée musicale, d’un apéritif amical et d’un déjeuner de gala, le lendemain de la

Les références aux écritures sacrées dans Les Maîtres chanteurs, par Bernard Reydellet

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Parmi les drames lyriques de Wagner, Les Maîtres chanteurs de Nuremberg occupe une place très particulière, car c’est la seule véritable « comédie ». Mais, comédie ne signifie pas simple divertissement, au contraire ! Au fil de cet ouvrage, le spectateur est, comme toujours, incité à une

D’Iphigénie à Tristan : tragédie grecque et drame lyrique, par Christophe Corbier

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

1847 : « l’année grecque » de Richard Wagner est marquée par son arrangement d’Iphigénie à Aulis de Gluck. Wagner, rejetant l’Antiquité de Mendelssohn et le « pieux men­songe » d’Antigone, se tourne vers l’horizon théâtral qui fut celui de Goethe et de Racine : la tragédie grec­que. Mais

Wagner orchestrateur, par Christian Merlin

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

On ne compte plus les études sur le chant wagnérien. Approche logique, s’agissant d’un com­po­si­teur d’opéra. Pourtant, on ne nous ôtera pas de l’idée que le véritable instrument de Wagner, c’est l’orchestre. Considérant, à travers la méthode du leitmotiv, que l’orchestre était une sorte de

Soirée musicale, par Clym

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Plongée dans les archives discographiques du XXe siècle, à la recherche des plus belles interprétations wagnériennes, en passant par le chef d’orchestre Hans Knappertsbusch et les grands interprètes du rôle de Wotan.