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Né une génération après Wagner, Boito (1842-1918) est connu pour avoir été le librettiste de Verdi (Otello, Falstaff). Mais ce brillant intellectuel, poète et théoricien est également un compositeur qui a imaginé ressourcer l’opéra italien en l’ouvrant aux influences étrangères. Comme Wagner, il s’est

On étudiera les différentes modalités de l’attente, aussi bien dans les livrets que dans leur réalisation musicale, ainsi que leur impact dramatique et agogique. De Brunnhilde à Isolde, de Tristan à Wotan, sans parler de Mime, Brangäne ou Amfortas et Klingsor, la mécanique de l’attente régit nombre de

Dès les premiers séjours de Wagner à Paris, des biographies plus ou moins romancées circulent, construisant une légende de Wagner qui sera reprise abondamment dans les textes de fiction qui mettent en scène le compositeur et ses œuvres. Le triomphe et la vogue du wagnérisme mettent

Entre éloge au musicien, attirance mystique et transcription, comment Liszt recrée le parcours dramaturgique de l’œuvre wagnérienne.

2011, année du bicentenaire de la naissance de Franz Liszt, est l’occasion – parmi d’autres – de se rappeler le profond attachement de cette figure majeure de la culture universelle au christianisme. On sait aussi que Liszt assista, en 1882, à la création mondiale de Parsifal à Bayreuth.

Cette

Qui était vraiment Franz Liszt, dont nous célébrons le bicentenaire de la naissance à Doborjàn, située à l’époque en Hongrie ? Sans doute le plus illustre virtuose du piano de son temps, qui transporta d’enthousiasme toute l’Europe, et laissa une œuvre pianistique considérable,

Après vous avoir fait découvrir quelques grands interprètes des rôles d’Isolde en 2009 et Wotan en 2010, nous vous proposons, pour conclure notre trilogie des grandes voix wagnériennes – et dans la continuité de notre cycle consacré au Ring, – un concert dédié à six grands ténors héroïques

Le XX^e siècle a repensé toutes les conceptions traditionnelles de base de la musique. Un langage de création se substitue à un langage d’expression, et l’essentiel de la musique n’est plus dans son contenu, mais dans son langage même. Pour Pierre Boulez et sa génération, « Wagner était une