Publié le - 20h00Hôtel Bedford

La création de Parsifal à Bayreuth : aspects esthétiques, juridiques et économiques, par Gilles Demonet

La création de Parsifal, en 1882, a donné naissance à un modèle de représentation de l’œuvre qui s’est imposé à Bayreuth, dans la lettre ou dans l’esprit, jusqu’à 1982, et qui a également influencé les productions données dans d’autres théâtres. L’une des raisons principales est que Wagner s’est

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

« Je me suis cru moi-même wagnérien » : Saint-Saëns et Wagner, une relation complexe, par Cécile Leblanc

Camille Saint-Saëns a connu Wagner dès 1859, lors du séjour parisien du compositeur allemand, pour la préparation du Tannhäuser, et a fait partie de son cercle de familiers. Il fut le premier à jouer des transcriptions de ses partitions, et accourt à Bayreuth en 1876. À son retour, il rédige sept

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

La postérité de Lohengrin, par Timothée Picard

Quintessence du merveilleux romantique empreint de religiosité, ou parabole pessimiste pour modernité désenchantée ? Fable politique sur la grandeur et les dangers du héros charismatique, ou portrait de l’artiste romantique en incompris cherchant à concilier le réel et l’idéal ? Lohengrin

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

La défense d’aimer (Das Liebesverbot) et les opéras de jeunesse de Wagner, par Damien Colas

Pourquoi s’intéresser aux œuvres de jeunesse de Wagner ? À l’occasion de la récente production de La défense d’aimer, à l’Opéra national du Rhin, cette ancienne question resurgit, ainsi que celles qui l’entourent : les raisons de l’exclusion des œuvres de jeunesse du canon wagnérien, leur place

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

La cantate Das Klagende Lied de Gustav Mahler : un conte de fées sous l’influence wagnérienne, par Isabelle Werck

Avec sa cantate Das klagende Lied (« le chant d’accusation »), Gustav Mahler, âgé de vingt ans, signe son premier chef-d’œuvre. Il y applique la technique du Leitmotiv, dans le sillage de Richard Wagner, pour lequel il éprouve une admiration sans bornes. Dans ce tragique conte de fées, le