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Depuis plus de cent ans, le théâtre de Bayreuth – où ont été créés, du vivant de Wagner, la Tétralogie dans sa version intégrale et Parsifal – ne cesse d’intriguer et de soulever des questions. Voulu par Wagner, construit selon ses indications, modifié après l’expérience du premier festival en 1876, ce

Les maîtres chanteurs de Nuremberg ? Le maître chanteur universel ! Quoi de mieux que cette « comédie populaire » pour révéler au monde son grand art ? Conjuguée au contexte historique et politique, l’œuvre révèle un paysage autant esthétique, s’offrant comme modèle au monde, que

Ce déjeuner festif, dans une brasserie alsacienne chargée d’histoire, nous donnera l’occasion de célébrer cet événement dans une ambiance joyeuse et amicale.

Parmi les drames lyriques de Wagner, Les Maîtres chanteurs de Nuremberg occupe une place très particulière, car c’est la seule véritable « comédie ». Mais, comédie ne signifie pas simple divertissement, au contraire ! Au fil de cet ouvrage, le spectateur est, comme toujours, incité à une

1847 : « l’année grecque » de Richard Wagner est marquée par son arrangement d’Iphigénie à Aulis de Gluck. Wagner, rejetant l’Antiquité de Mendelssohn et le « pieux men­songe » d’Antigone, se tourne vers l’horizon théâtral qui fut celui de Goethe et de Racine : la tragédie grec­que. Mais