Vincent d’Indy et Wagner, par Gilles Saint-Arroman

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Vincent d’Indy est l’un de ces jeunes compositeurs français de l’après 1870 pour qui la découverte de Wagner a été une révélation. Fidèle spectateur du festival de Bayreuth entre 1876 et 1889, il perçoit, dans son œuvre, un modèle pour la régénération du drame musical français qu’il appelle de ses vœux. Cette conférence porte,

Bayreuth, scène d’un drame en trois actes (2e partie), par Marc Dumont

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Pour les wagnériens, tout part de là. D’où vient ce lieu rêvé de l’art total, son théâtre, mais aussi, au cœur de la ville, Wahnfried, la villa des chimères ? Pourquoi ce lieu est-il devenu l’un des centres mondiaux de la musique ? Comment est-il né, de quels projets, de quels désirs ? Au départ, ce rêve wagnérien n’était pas acquis. Ce

Bernard Shaw, le parfait wagnérien, par Georges Liébert

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Hormis Pygmalion — et sa version cinématographique, My Fair Lady —, l’œuvre de Bernard Shaw est aujourd’hui presque complètement inconnue du public français. Parmi les mélomanes, rares sont ceux qui ont lu Le parfait wagnérien, ou qui en connaissent même l’existence ; plus rare encore ceux qui savent que

L’orchestre wagnérien, par Christian Merlin

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Le compositeur a créé des opéras dont le personnage principal n’est pas l’un des rôles tenus par les chanteurs, mais l’orchestre lui-même. Avec un temps d’avance sur les personnages, ce sont les instruments qui guident l’auditeur à travers les détours de l’action. Il y a donc un avant et un après Wagner dans la manière de composer pour l’orchestre, ce qui fait de lui un

Peter Hofmann, une légende trop méconnue, par Michèle Bessout

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Bayreuth, juillet 1976… Le « Ring du centenaire, Boulez-Chéreau », le monde wagnérien découvre, dans le rôle de Siegmund, un jeune et talentueux ténor au physique de playboy, Peter Hofmann. Un grand artiste est né, c’est le début de la gloire ! Trente-quatre ans plus tard,

Wagner à la Belle Époque : le regard de Willy, par Marie-Bernadette Fantin-Epstein

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Henry Gauthier-Villars, dit Willy, est l’homme à la mode du Tout-Paris de la Belle Époque. Mystificateur et cabotin en diable, il signe, sous le nom de « L’Ouvreuse du Cirque d’été », des articles de critique musicale où il joue à faire et défaire les célébrités du monde de la

Parsifal, le théâtre et le sacré, par Jean-François Candoni

Publié le - 20h00Hôtel Bedford

Les références au catholicisme, qui abondent dans Parsifal, ont été interprétées par Nietzsche comme un acte d’allégeance de Richard Wagner à l’Église romaine et comme une trahison envers ses idéaux révolutionnaires. La conférence de Jean-François Candoni tentera, à l’inverse, de

Bayreuth, scène d’un drame en trois actes, par Marc Dumont

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Pour les wagnériens, tout part de là. D’où vient ce lieu rêvé de l’art total, son théâtre, mais aussi, au cœur de la ville, Wahnfried, la villa des chimères ?  Pourquoi ce lieu est-il devenu un des centres mondiaux de la musique ? Comment est-il né, de quels projets, de quels désirs ? Au départ, ce rêve wagnérien n’était

Colette à Wagneropolis, par Cécile Leblanc

Publié le - 15h15Hôtel Bedford

Colette, dont l’éducation musicale est déjà très solide, découvre le wagnérisme dans l’entourage d’Henry Gauthier-Villars après leur mariage. Il l’entraîne à Bayreuth dès 1896, et l’agrège à son « atelier » où les plus grands musiciens de l’époque, de Debussy à d’Indy,